Le 1er mai 2002, un vent de liberté s'est mis à souffler sur notre Ville. Un site était né qui allait bousculer la Majorité en place. Les réactions ne se sont pas fait attendre. Les attaques tant verbales que physiques n'ont pas manqué pour tenter de faire taire Christophe Grébert, "ce Putéolien qui avait décidé de l'ouvrir". Maintenant c'est au tour de la justice d'entrer en scène. Face à la Mairie qui croit tout pouvoir grâce à notre argent, nous devons tout faire pour que monputeaux.com continue à vivre et pour que la liberté d'expression soit respectée à Puteaux...
N.B. Pour participer aux frais de justice, voir les indications sur monputeaux.com