Pour mettre en perspective la dernière démarche de Charles Ceccaldi-Raynaud à mon encontre, les exemples ne manquent pas. Bien des opposants ou supposés tels ont fait l'expérience de différents moyens de pression et/ou de harcèlement.
Pour mémoire, je republie ici un petit article paru dans L'Express du 2 février 2004.
Le sénateur maire de Puteaux, Charles Ceccaldi-Raynaud, a laissé pantois ceux qui l'écoutaient, en aparté, se déchaîner, récemment, contre la présence, lors des séances du conseil municipal, d'un certain Christophe Grebert, l'éditeur d'un site Internet particulièrement corrosif sur la ville (monputeaux.com). Et Ceccaldi de plastronner : «Pour le harceler, j'ai demandé à mes collaborateurs de lui faire des crocs-en-jambe dans l'escalier qui mène au conseil municipal.» Il a ajouté que, la ville récupérant un appartement mitoyen du sien, il veillerait à y loger des voisins pénibles.
Pouvait-on être plus clair ? On devrait toujours se méfier des oreilles indiscrètes.
Voir aussi sur ce blog "La majorité de Puteaux et ses coups tordus".
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