En début de séance, la majorité est sortie quelques minutes pour examiner le voeu que nous avions déposé puis le maire a déclaré que celui-ci était rejeté "pour cause d'affaire en cours". Pourtant le problème reste entier quelle que soit l'issue finale du procès pour diffamation dans la mesure où les uns (le maire et son père) piochent dans le budget de la ville alors que l'autre (C. Grébert) doit sortir l'argent de sa poche.
A propos de la lettre publiée sur le site de la ville, le maire a déclaré que c'était son père qui l'avait fait mettre en ligne un soir et qu'elle l'avait fait ôter dès le lendemain matin (N.B. Si tel avait été le cas, aurions-nous eu le temps de faire procéder à un constat par huissier ?). Alors que je lui suggérais que sur ce point, elle aurait pu se désolidariser de son père, elle a répondu qu'elle avait "le sens de la famille".
En ce qui concerne les questions diverses, le maire s'est déclarée en excellents termes avec l'actuel président de la mosquée mais aucune solution pérenne n'est actuellement à l'étude. Seul un prêt de salle est envisagé durant la période du Ramadan.
En matière d'éradication de l'habitat insalubre, le maire continue de faire la sourde oreille et considère que les OPAH sont la panacée...
Enfin le maire s'est dit intéressée par la proposition de la ville d'Opocno de se mettre en rapport avec la ville de Puteaux pour célébrer la mémoire de Frantisek Kupka mais a précisé qu'elle n'avait été contactée directement. Par ailleurs, en matière d'hommage, elle a rappelé celui rendu à Bellini avec la venue du choeur G. d'Annunzio de Chieti au théâtre des Hauts-de-Seine le 16 septembre. Aucune réponse concernant le musée.
P.S. Nous avions 4 votes pour ce conseil : M. Brisset avait le mandat de M. Ghénassia et j'avais le mandat de M. Rein.