Juillet-Août : Souriez, vous êtes découpé …
Aux Etats-Unis, en Allemagne, aux Pays-Bas, les ventes à la découpe sont impossibles. C’est d'ailleurs pour cela que les investisseurs immobiliers se tournent vers la France. Des solutions simples existent, d’application immédiate. S’il en avait eu la volonté politique, le gouvernement aurait pu y mettre un terme dès aujourd’hui. Au lieu de cela, le Parlement vient de voter une loi au rabais ! (...)
Septembre : Accueil des tout-petits : beaucoup d’annonces, fort peu de résultats
Belle vitalité ! A Puteaux, on compte 60 naissances par mois en moyenne soit 720 par an. Le problème -et nous n’avons cessé de le souligner- c’est l’accueil : 550 places toutes sections confondues soit une offre de 175 places pour les plus petits. 175 sur 720 potentiels, même si tout le monde ne fait pas une demande nous sommes loin du compte. (...)
Octobre : La justice condamne le maire de Puteaux et son père pour diffamation
Le 5 septembre dernier, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, députée-maire de Puteaux et son père Charles, conseiller général et ancien maire de la ville, ont été condamnés par le Tribunal de Grande Instance de Nanterre à 2.500 euros d'amende chacun, respectivement pour diffamation et complicité de diffamation. (...)
Novembre : Client ou citoyen ?
Dans le petit livret distribué lors de la fête des associations, la Ville a recensé 64 associations putéoliennes : 13 « loisirs et culture », 6 « quartiers », 1 « protection des animaux », 22 « solidarité et social », 2 associations cultuelles (ACCIP et solidarité islamique), 8 « anciens combattants », 9 « jeunesse et éducation » et 3 « petite enfance ». Le bilan est maigre (dans les villes de même importance, on compte jusqu’à 200 associations de ce type) mais surtout ne reflète pas la réalité à savoir la naissance et la dissolution rapide de nombre d’associations non encouragées à continuer. (...)
Décembre : Lieux de culte : exigeons l’égalité de traitement pour toutes les religions
L'article 2 de la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat proscrit toutes subventions publiques. Les pouvoirs publics mettent gracieusement à la disposition des cultes les édifices religieux dont ils ont l'usage. Dans le cas où ceux-ci n’existeraient pas ou ne seraient plus adaptés, on trouve également dans le cadre juridique actuel des moyens permettant à tous les cultes de disposer de la capacité de construire des lieux de prière. (...)
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