Dans
le cadre des restructurations annoncées il y a quelques jours par Nec
prévoyant la suppression de 20000 emplois dans le monde, 387 postes
devraient être concernés en France, annonce le groupe japonais.
Principale victime: le site d'Angers où avaient lieu, jusqu'à présent,
l'assemblage et la production d'ordinateurs. Celle-ci devrait s'arrêter
d'ici à mi-2010, entraînant la suppression de 334 emplois.
Le siège de Nec, basé 10 rue Godefroy à Puteaux (92), devrait, quant à lui, perdre 53 salariés. Voir le site Electronique