Le Parisien dans son édition d'hier a publié un article intitulé "Fromantin freiné par les supporters de l'UMP".
Dans cet article, on peut lire : "Joëlle Ceccaldi-Raynaud sort pour proclamer les résultats. Stéphane Vazia, chef du groupe socialiste (...) jubile devant les félicitations du maire : "Bravo c'est comme ça que j'aime le PS" le salue-t-elle après avoir félicité Bernard Lépidi."
Face à cette interprétation particulièrement choquante, Stéphane Vazia a demandé un droit de réponse dont voici le texte :
Suite à votre article du 11 juin qui insinuait qu'au soir du 1er tour des élections législatives je me réjouissais des félicitations de Mme Ceccaldi, je vous demande un droit de réponse. Je me réjouissais, à juste titre, du score historique du PS à Puteaux: 32,5% des voix, devant le candidat soutenu par Mme Ceccaldi (24,8%) et le maire de Neuilly (18,1%). Je me moque des flatteries venimeuses de Mme Ceccaldi, que l'ensemble des élus PS au Conseil Municipal combattent à longueur de mandat depuis de nombreuses années. Son ironie grinçante de dimanche dernier, "J'aime le PS", masquait mal le désarroi de la droite, sur la circonscription de M. Sarkozy en général, et sur Puteaux en particulier.
Stéphane Vazia - Président du groupe socialiste au conseil municipal de Puteaux - Suppléant de Mme Brannens sur la 6ème circonscription des Hauts de Seine.
Mise à jour : La journaliste refuse de publier un droit de réponse estimant qu'il ne faut pas lire son article "au 1er degré" (sic). Malgré notre insistance, elle n'est pas revenue sur sa décision. Chers lecteurs, nous vous invitons donc à lire ce texte au second degré...