L'affaire de la taxe d'accès à l'île de Puteaux - à laquelle Le Parisien consacre aujourd'hui un article* - n'a pas fini de faire parler d'elle. Certains y pensent même la nuit. Voici ce qu'a envoyé Polo en commentaire :
Chronique putéolienne
2014: La Maire décide de faire payer l'entrée du Parc sur l'île de Puteaux aux non-Putéoliens
2015: Une carte d'identité est nécessaire pour les Putéoliens voulant se rendre sur l'ile, une brigade de policiers municipaux vérifient les pièces
2016: Suite à un pot de fleur renversé place de la Mairie, toutes les rues sont sous contrôle; nul ne peut entrer à Puteaux sans présenter un passeport ou un justificatif de travail; les policiers municipaux sont au nombre de 200
2017: Suite à une invasion nocturne et massive d'immigrés de la Corrèze et du Cantal, la Municipalité a été obligée de se réfugier sur l'île, entourée d'un millier de policiers municipaux; La Maire a transformé la gloriette du Parc en Bunker.
Grébert porte plainte contre la Maire pour abus de biens sociaux;
2018: Toute la France est aux Français, sauf un petit village d'irréductibles qui résiste pour garder son identité putéolienne; le fils de La Maire est en treillis de para et a le grade de colonel; il coule tous les bateaux-pirates qui passent sur la Seine.
Les insurgés sont ravitaillés par Poutine et les Le Pen qui dénoncent le caractère impérialiste des Français à l'ONU et revendiquent l'indépendance pour Puteaux sous contrôle russe;
2019: Amnesty international, la Ligue des droits de l'homme, les Femen, SOS racisme viennent défendre ce légitime droit des peuples de vivre selon leur aspiration et leur tradition;
2020: Suite au dérèglement climatique, la Seine est montée de 4 mètres, seul le Bunker de la maire surnage avec quelques fidèles
7 heures du matin, je me réveille en sursaut, j'ai fait un cauchemar!
* Voir l'article du Parisien : http://www.leparisien.fr/