Nadine Jeanne, ex-élue de Puteaux

Emploi : Découvrez l'association TZCLD

Hier soir a eu lieu salle du tennis du chemin vert à Puteaux une réunion publique organisée par les élus du groupe Demain, Puteaux! et qui portait sur l'expérimentation Territoires Zéro Chômeurs de Longue Durée.

(...) L’association "Territoires zéro chômeur de longue durée" (TZCLD) a été créée le 7 octobre 2016 pour démontrer qu’il est possible à l’échelle de petits territoires, sans surcoût significatif pour la collectivité, de proposer à tout chômeur de longue durée qui le souhaite, un emploi à durée indéterminée à temps choisi, en développant des activités utiles pour répondre aux besoins des divers acteurs du territoire.

L’association a pour objet l’animation et le développement du projet dans ses différentes étapes. Suite à l’habilitation des 10 territoires expérimentaux par la loi du 29 février 2016, de nombreux territoires volontaires se mobilisent pour mettre en œuvre la démarche. (...)

En savoir plus sur le site de l'association TZCLD

Une réunion très intéressante avec Daniel Le Guillou membre de l'association TZCLD ainsi que Mélanie et Olivier porteurs du projet TZCLD d'Asnières sur Seine mais dans une salle particulièrement difficile d'accès sans compter qu'il a fallu attendre 20 minutes sous la pluie avant que des agents muncipaux viennent l'ouvrir!

La face cachée de Puteaux (tribune)

Fin 2018, le mouvement des Gilets Jaunes a participé à une prise de conscience collective quant aux déchirements à l’oeuvre dans notre pays. Parmi eux, la fracture de plus en plus grande entre les classes favorisées et le reste de la population, et celle entre les élus et les citoyens.

Ces fractures se retrouvent également dans notre ville, poussées à un niveau caricatural.
Alors qu’une grande partie de la population se bat contre “les problèmes de fin de mois”, Puteaux dépense plusieurs dizaines d’euros des impôts des putéoliens pour des cérémonies toujours plus fastueuses.
Alors que nous devons nous battre contre “les problèmes de fin du monde”, Puteaux fait remplacer à grands frais écologiques son sapin de plus de 20m de haut qui n’était pas suffisamment solide pour les décorations prévues !

La Mairie de Puteaux enchaîne les cérémonies de vœux et les petits fours, et “en même temps”, une Putéolienne de 71 ans (photo) dort dans sa voiture faute de logement social proposé par la ville.

Puteaux n’est pas un petit village gaulois à la frontière de laquelle les problèmes du pays et de notre époque se seraient arrêtés. Dans notre ville aussi, des habitants souffrent, ne peuvent boucler leur budget mensuel, asphyxiés notamment par des loyers aberrants, survivant parfois dans des logements indignes.

Joëlle Ceccaldi-Raynaud refuse de voir cette face cachée de Puteaux, préférant imaginer vivre dans un conte de Disneyland. C’est pourtant son premier devoir de Maire : porter secours à la population en difficulté, et ce bien avant de choisir le thème de la prochaine parade.

Les élus du groupe Demain, Puteaux ! 
Francis Poézévara, Nadine Jeanne, Evelyne Hardy
Contactez-nous : www.demain-puteaux.fr

Tribune parue dans le Puteaux Infos de janvier 2019

Un cahier de doléances dans le hall de la mairie de Puteaux

Vous pouvez participer au grand débat organisé par le gouvernement via le cahier de doléances installé dans le hall de la mairie de Puteaux. Sans préjuger du résultat, on peut au moins y noter ce qui nous tient à coeur. Pour moi c'est "Des logements pour tous pas seulement pour les plus aisés".

Cette thématique est particulièrement parlante dans notre ville où tout ce qui se construit est destiné aux plus riches. Je demande la construction de davantage de logements sociaux notamment des logements de type PLAI et l'éradication du logement insalubre tout en maintenant les habitants en coeur de ville et non comme aujourd'hui de plus en plus loin en périphérie. une demande en rapport avec deux des valeurs fondamentales de notre République : égalité et fraternité.

PS. J'ai également lu qu'un collectif de citoyens demandait au maire une salle pour pouvoir débattre. J'espère qu'elle leur sera accordée.

L'hôpital de Puteaux ne sera pas vendu (Le Parisien)

La rumeur s’est faite insistante ces dernières semaines. Pour se sortir du déficit, le centre hospitalier Rives-de-Seine, qui regroupe trois sites publics à Neuilly, Courbevoie et Puteaux, envisageait de se séparer de ce dernier établissement. Il n’en est pas question nous assure sa directrice, Catherine Latger, qui annonce aussi la création d’un nouveau service pour générer de nouvelles recettes.

D’où proviennent les difficultés financières du centre hospitalier ?

Catherine Latger : Quand Puteaux a rejoint notre giron, en 2011, nous avons engagé pour 8 M€ de travaux sur cet hôpital et contracté un lourd emprunt. En 2017, l’Agence régionale de santé (ARS) nous a demandé de réfléchir à un plan de retour à l’équilibre pour réduire un déficit qui se creusait sur l’ensemble de l’établissement. Et en particulier à Puteaux, où nous avons des tarifs d’hébergement assez bas par rapport au reste du département.

La fermeture du site de Puteaux a donc été envisagée ?

L’ARS nous a demandé d’étudier le repli de l’activité sur deux sites. Le site de Neuilly, il était hors de question de le fermer, il vient d’être rénové, notamment les urgences, la maternité et le bloc opératoire. La discussion s’est donc portée sur Courbevoie et Puteaux, le dernier site intégré. (...)

Lire la suite sur le Parisien

Le directeur de publication de Puteaux Infos condamné en appel

La Cour d'Appel de Versailles rendait son arrêt aujourd'hui. Le Procureur de la République a réclamé la confirmation du jugement de 1ère instance condamnant le représentant de la municipalité pour avoir diffamé le conseiller municipal Christophe Grébert dans le magazine municipal. On y affirmait que le conseiller d'opposition avait été condamné par la justice à verser des dommages et intérêts au maire de Puteaux, ce qui était faux  (...). La condamnation devra être publiée dans  "Puteaux infos".

Commentaire de Christophe Grébert : Dans ce procès, c'est la municipalité qui a fait appel de la condamnation de son directeur de publication. L'arrêt de la cour de Versailles confirme cette condamnation, tout en réduisant les indemnités à me verser : 1.000 euros au lieu de 3.000 euros en 1ère instance. Mais à l'inverse... les juges de Versailles ordonnent la publication de la condamnation dans le "Puteaux infos", ce que ne réclamaient pas les juges du tribunal de Nanterre !

En savoir plus sur cette affaire sur le blog MonPuteaux

Comment changer la donne en matière de lutte contre l'habitat insalubre ?

On le sait de nombreux habitants à Puteaux comme ailleurs vivent dans des logements indignes. Cette situation gangrène notre société depuis des années sans que soient trouvées des réponses appropriées. Après le drame de la rue d'Aubagne à Marseille qui a fait 8 morts la fondation Abbé Pierre qui s'est portée partie civile fait quelques propositions :

Nous considérons que, pour changer la donne en matière de lutte contre l’habitat indigne, il faut un plan spécifique, avec des objectifs précis et chiffrés à hauteur de 60 000 taudis traités par an. Après avoir repéré les nids d’insalubrité, l’Etat doit contractualiser avec les collectivités territoriales concernées, pour les réhabiliter. Il faut une action très volontariste de manière à vaincre, en dix ans, le scandale de l’habitat insalubre. La contractualisation est nécessaire, car on sait que certaines municipalités préfèrent cacher la misère sous le tapis, au lieu de s’attaquer à ce problème qui exige des efforts financiers et la mise en place d’équipes dédiées chargées de pousser à la réhabilitation, en se substituant parfois au propriétaire si besoin. Si on ne se donne pas d’objectifs, s’il n’y a pas d’obligation de faire pour les collectivités, on n’y arrivera pas. (...)

Voir l'article de Libération

Mise à l'index d'opposants : la Mairie de Puteaux condamnée

La famille d’Alexandre Gabart a-t-elle payé l’engagement politique de ce dernier sur une liste socialiste montée aux dernières municipales, en 2014, contre le maire Joëlle Ceccaldi-Raynaud ? 

Ce père de famille dont les deux filles se sont vu refuser l’accès à des colonies de vacances en est convaincu.

Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise), qu’il a saisi, vient de rendre une décision qui conforte son sentiment. La juridiction vient de condamner la ville de Puteaux : les magistrats ont estimé que la commune « n’avait pas appliqué à la situation des enfants des requérants des règles semblables à celles dont ont bénéficié les autres participants aux séjours organisés », jugeant ainsi les refus « illégaux ». (...)

Lire l'article du Parisien

Marie, retraitée de 71 ans, est toujours à la rue et accuse le maire de Puteaux de divulguer des Fake News (erratum)

Dans le Puteaux infos du mois de janvier 2019, on trouve sur la page de la tribune de la majorité une lettre de Mme Ceccaldi. Le maire de Puteaux y exprime son mécontentement quant au contenu d'un reportage de M6 sur l'accès au logement social diffusé le 5 décembre dernier.

On trouve également sous cette lettre, une déclaration à propos de la situation de Marie de Jésus, 71 ans, à la rue depuis plusieurs mois. On peut lire que "3 demandes (sic) de logement lui ont été faites" : en fait, elle a eu deux propositions à Garches et à Villeneuve la Garenne qu'elle a refusées ne voulant pas quitter Puteaux. Quant à la dernière proposition sur Puteaux cette fois-ci, elle a été faite par le bailleur Osica. La lettre est datée du 13 juin 2018, elle a été envoyée le 15 juin soit le vendredi. Marie l'a eue le lundi soir (18 juin) et la commission d'attribution avait lieu le 19 juin. Elle n'avait donc aucune chance d'envoyer un quelconque dossier à temps! Il est donc faux de prétendre qu'elle a refusé une proposition sur Puteaux. 

Voici la 1ère lettre d'OSICA (datée du 13 juin):

Voici le bordereau attestant de la date d'envoi (le 15 juin) :

Voici la 2ème lettre d'OSICA datée du 19 juin :

Il fait extrêment froid actuellement : il serait temps qu'une solution soit trouvée.

Erratum (15/01/2019): Comme certains me l'ont fait remarquer, la lettre du 13 juin ne peut être la 1ère : il est signalé que le dossier de candidature transmis par Marie (à Osica) était incomplet. Il existe donc une lettre antérieure au 13 juin. On peut juste conclure que la lettre de relance est arrivée trop tard pour être honorée.

Marie explique dans une vidéo qu'elle n'avait pas compris qu'il fallait envoyer un dossier et elle n'a pu corriger cette erreur.

Maintenant on peut refaire l'histoire et dire que Marie a manqué de jugement. Ce n'est cependant pas une raison pour la laisser à la rue.