Francis Poézévara a mis en ligne une analyse très poussée des résultats des municipales 2020 à Puteaux. Il en retire plusieurs enseignements : 1. L’abstention massive liée à la peur de l’épidémie a largement favorisé Joëlle Ceccaldi-Raynaud. 2. Le parc de logement social est la première des “mines d’or” électorales sur lesquelles repose la famille Ceccaldi. 3. Le principal facteur de décision des électeur·trice·s est toujours l’étiquette des partis politiques. 4. L'ancrage local a une importance mesurée mais non négligeable.
Un moyen de vérifier cette dernière affirmation consiste à étudier plus précisément les résultats de ma liste, le Printemps Putéolien, bureau de vote par bureau de vote, et de regarder les résultats dans les bureaux où elle possède un ancrage fort (personnalité active et reconnue). On voit ainsi que les scores sont globalement moins bons partout (malheureusement !), sauf à quatre endroits :
- Bureau 21, qui est mon bureau de vote ainsi que celui de mon numéro 3, Laurent Giblot, et de Nadine Jeanne, élue sortante,
- Bureau 22, qui fait partie de la même résidence,
- Bureau 2, qui est celui de ma numéro 2, Anna Fryde,
- Bureau 14, qui est celui de plusieurs personnes de ma liste, et notamment d’Evelyne Hardy, élue sortante.
Sur ces bureaux, nous réalisons un score moyen de quatre points supérieur à celui du reste de la ville (ce qui fait beaucoup, vu que le résultat global n’est pas haut !).
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