Le Parisien a consacré hier un article à la fabrication des masques solidaires lancée par le collectif Entraide Covid Puteaux avec l'appui du groupe Le Printemps putéolien.
"Ma mère était couturière et elle voulait que je sois médecin. C'est raté mais je ne suis pas couturière et la machine qu'elle m'a offerte n'avait servi qu'à faire des essais. J'ai vite été découragée, avoue Chérine, une habitante de Puteaux, qui a lancé un groupe de bénévoles pour fabriquer des masques en tissu pour le personnel administratif de l'hôpital Foch de Suresnes et, plus largement, tous ceux qui travaillent au contact du public ou avec des personnes fragiles.
"Ce masque, c'est un principe de solidarité car il faut le porter pour ne pas contaminer les autres", rappelle Sylviane, styliste. Cette pro de la couture a répondu avec enthousiasme à la proposition de Chérine, en relayant son initiative sur son propre réseau, celui du Printemps putéolien, la liste pour les élections municipales menée par Francis Poézévara (Génération. s). (...)
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